Vu -et lu- sur le Blog de la FRP...
Un exemple à suivre: à Marseille et dans les environs immédiats, des affiches du 21 Janvier sur les vitrines des commerçants...
Boulangerie, rue Paradis...
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Un exemple à suivre: à Marseille et dans les environs immédiats, des affiches du 21 Janvier sur les vitrines des commerçants...
Boulangerie, rue Paradis...
Lu sur le site Gens de France:
http://www.gensdefrance.com/gdefrance1/ :
SAR le prince Gaston de France a été baptisé le mardi 8 décembre 2009, en la basilique Sainte-Clotilde, au cours de la messe solennelle de l’Immaculée Conception, célébrée par le P. Matthieu Rougé, curé de la paroisse.
Les prénoms de baptême donnés à l’enfant sont : Gaston, Louis, Antoine, Marie.
Il y avait trois parrains : le prince Charles de Bourbon-Siciles, duc de Castro, le prince Eudes de France, duc d’Angoulême, le comte François-Pierre de Feydeau – et trois marraines : la princesse Astrid de Belgique, mademoiselle Magdalena de Tornos et la comtesse de El Abra.
Des membres de la famille entouraient également le duc et la duchesse de Vendôme: madame la duchesse de Montpensier, le prince François, la duchesse d’Angoulême, le prince Pierre, la princesse Thérèse, le prince Foulques d’Orléans, l’archiduc Lorenz d’Autriche et la princesse Maria Laura de Belgique, ainsi que quelques très proches amis.
La basilique Sainte Clotilde est l’église paroissiale du duc et de la duchesse de Vendôme. Rappelons que, consacrée en 1857, elle a été édifiée à l’initiative du roi Louis Philippe et de la reine Marie-Amélie.
La réelle qualité du livre, l'intérêt du fond comme on dit, y est évidemment pour quelque chose. Nous l'avons lu, attentivement, dès sa parution -le 7 octobre- et, depuis, nous faisons tout notre possible pour le faire lire à un maximum de personnes car, vraiment, il s'agit d'un bon livre.
Mais l'action personnelle du Prince, et le Tour de France qu'il a entrepris début novembre pour aller à la rencontre des français, afin de leur présenter, précisément, son ouvrage, y est aussi pour quelque chose: partout où il va, le Prince délivre sereinement un message clair, frappé au coin d'un grand bon sens, et centré exclusivement sur la recherche du Bien commun.
A quoi ressemblent ces soirées de présentation d'Un Prince français ? Que dit exactement le Prince, et quel est ce fameux message qu'il délivre ? Vous en aurez une petite idée en regardant la vidéo qui a été tournée à Marseille, le 13 novembre....
Pour lire cette vidéo, cliquez sur l'image.
Christophe Geffroy, qui en profite évidemment pour présenter aussi le livre du duc de Vendôme, Un Prince français, conclut ainsi: "...Un livre aux idées fort sympathiques qu’on aimerait voir appliquées aux plus hauts degrés de l’État."
http://www.lanef.net/t_article/paroles-dun-prince-jean-dorleans.asp
Le passage du Prince à Bordeaux a été, en effet, très réussi. En fin d'après-midi, de 17h30 à 18h30, le duc de Vendôme s'est entretenu avec quelques représentants de la presse (quatre, dont deux du journal Sud-Ouest, le grand quotidien régional). Cela a donné les articles que vous trouverez ci-dessous.
A 20h30 la salle était déjà remplie et il a fallu rajouter beaucoup de chaises. Au total il devait y avoir 300 personnes ou peu s'en faut, dont de nombreux inconnus... A 20h45 lorsque le Prince est entré dans le grand atrium de l'hôtel Mercure-Chartrons la salle s'est levée et a applaudi.
Le libraire présent a vendu 130 livres, mais beaucoup de personnes avaient apporté le leur préalablement acheté. La séance de dédicaces a donc été assez longue.
Depuis que nous avons présenté ici-même l'excellent blog de Benoit de Sagazan ( http://patrimoine.blog.pelerin.info/esprit/ ) nous l'évoquons régulièrement, n'hésitant pas (c'est pour la bonne cause !...) à utiliser tout aussi régulièrement les informations qu'il donne afin de leur offrir, dans la mesure de nos moyens, la diffusion la plus large possible.
Nos lecteurs savent la raison pour laquelle nous avons "adopté" ce Blog, et pourquoi et en quoi il est excellent. Il suffit de lire, ou relire, les propos de Benoit de Sagazan par lesquels il présente son Blog à ceux qui le découvrent:
"Loin de tout esprit nostalgique, les enjeux du patrimoine me paraissent effectivement capitaux tant ils engagent notre avenir : le tissage d’un véritable lien social entre personnes d’âges et de conditions différentes ; la prise en compte de réalités économiques importantes pour notre développement collectif ; l’enjeu politique, au sens noble du terme, que peut porter une Nation réconciliée avec ses racines et son histoire, au sein d’une Europe qui reste à construire : la transmission d’une culture (faite d’art, de savoir-faire et de spiritualités) capable de nous rendre responsables d’un monde durable, en perpétuelle évolution.
Vous l’avez sans doute compris, c’est d’un patrimoine en pleine vie dont je désire surtout vous parler, d’un patrimoine qui a encore beaucoup de choses à nous dire, d’un patrimoine qui peut nous aider à devenir, à notre tour, des fondateurs et des pionniers, et pas seulement des héritiers."
L'accord entre cette conception des choses et notre attachement viscéral à nos Racines (Tout ce qui est Racines est bon !...ne cessons-nous d'écrire) n'est-il pas profond et total ? Ne porte-t-il pas sur l'essentiel ? Évidemment, oui.
Et aujourd'hui, nous le citons une fois de plus car, dans sa livraison du 23 novembre, il propose l'entretien avec le Prince Jean que nous reproduisons ci-après intégralement, et dans lequel on appréciera les précisions que le Prince Jean apporte sur plusieurs sujets, fort différents mais tous fort intéressants....
.....en attendant la suite, en 2010 : déjà programmées, les présentations de Quimper, Nantes, Toulon, Lille, Bruxelles, Vichy, Toulouse, Orléans, Fontainebleau, Strasbourg, Colmar.....
- 24 novembre : Lyon (Salle de l'Embarcadère, 13 bis, Quai Rambaud, 20h30)
- 25 novembre : Grenoble (Hôtel Le Président, 11 rue Général Mangin, 18h30)
- 2 décembre : Bordeaux (Hôtel Mercure-Chartrons, 20h30)
Le Prince trace son sillon, il laboure, il sème. Nous tâchons de rendre, ici, un peu de cette activité méthodique et sérieusement menée, qui le fait connaître de plus en plus, et qui ne restera pas sans conséquences positives. D'ores et déjà, comme nous le faisions remarquer précédemment, il a rencontré beaucoup de personnes de toutes conditions et de tous milieux, et cela commence à faire du monde....
Aujourd'hui, voici l'article et l'éditorial que lui consacrent Axel Tisserand et Gérard Leclerc, tous deux dans France Catholique.
Ainsi, au fil de ses rencontres incessantes avec les français, il apparaît et s'affirme de plus en plus, et de mieux en mieux, comme ce qu'il est: le recours, que seul "l'Héritier des siècles", lui, peut représenter et incarner....
Gaston est né, tôt ce matin.
Avec les deux enfants du Prince Eudes et cette première naissance au foyer de Jean et Philoména, c'est la Famille de France qui s'agrandit, et c'est une grande joie pour nous tous mais aussi, bien sûr, pour tous les français : car la Famille royale représente la stabilité et la pérennité de la Nation, qu'elle incarne dans ce qui, en elle, ne passe pas.
Avec la Famille de France, c'est tout le peuple français, dans son ensemble, qui replonge au coeur de ses Racines, dans lesquelles il trouve ou retrouve la force de poursuivre l'aventure et d'affronter les périls qui l'assaillent.
L'actuel Roi d'Espagne, à la naissance de son fils, a eu ce mot magnifique : "L'Espagne a un serviteur de plus".
Et Chateaubriand, s'inclinant à la naissance du duc de Bordeaux, déclara à sa mère : "Madame, votre fils est mon Roi".
C'est sans nul doute un mélange de ces sentiments qui forme notre réaction aujourd'hui à l'annonce de cette naissance...
http://www.rtl.fr/fiche/5929560474/les-grosses-tetes-du-04-11-09.html
"La monarchie est utile parce qu’elle permet de faire primer le bien commun sur les intérêts particuliers, et de s’inscrire dans le long terme, alors qu’aujourd’hui on n’est intéressé que par le court terme, ce qui empêche d’anticiper et de relever les grands défis de notre temps. Elle permet aussi de sortir du système des partis qui a cannibalisé la vie politique et développé une logique d’affrontement.
Est-elle possible aujourd’hui ? Trois éléments sont à considérer : la préparation du prince – je suis là ; la volonté des Français ; et les circonstances. On peut penser qu’avec la crise, économique mais aussi comportementale, les circonstances peuvent être là. La volonté des Français ? Je pense que les Français ont le coeur royal mais l’intelligence républicaine. Il faudra leur faire retrouver l’élan du coeur...."
Dans ce court extrait de l'important entretien paru dans Monde et vie, si tout ce que dit le Prince nous paraît très juste, ce qui est le plus important -à notre très humble avis- ce sont ces trois petits mots: "Je suis là".
"Que les temps sont changés !" comme le dit Abner, dans sa tirade qui inaugure l'Athalie de Racine. Oui, que les temps sont changés, depuis que les Princes et les royalistes se sont rencontrés de nouveau, et cheminent dorénavant de conserve. Depuis ces retrouvailles aux Baux 2002 où, ensemble, les deux frères, Jean et Eudes, sont venus relancer une dynamique dont nous voyons se dessiner, aujourd'hui, les effets heureux.
Le Prince est là, en effet, il tient sa place et joue son rôle. A chacun de nous de jouer le nôtre et de le seconder : "Je compte sur vous", nous a-t-il dit. Nous sommes là....
Pour l'instant, aucune des soirées de présentation-dédicaces d'Un Prince français n'a ressemblé aux autres, et c'est tant mieux. A Paris, c'était un dialogue très original avec Jean Piat, brillamment introduit par Jacques Tremollet de Villers, la soirée s'inscrivant également dans la dynamique de l'année Henri IV.
A Senlis et à Villefranche, le Prince fut reçu dans leur mairie par les deux maires, Jean-Pierre Canter et Gérard Grosgojeat.
Enfin, c'est avec la grande presse que le Prince avait rendez-vous à Béziers et à Marseille: Le Midi Libre a consacré deux longs articles à son intervention, et, à La Provence, le Prince a pu s'initier au maniement du tchat.
L'héritier des Rois de France - au second plan - dans les locaux de La Provence, lors de son tchat.
Photo Bruno Souillard (La Provence);
C'était la première fois que le Prince utilisait cette façon de se brancher, en direct, sur la masse anonyme des lecteurs/questionneurs. L'exercice est intéressant: il a -évidemment- ses limites, mais il permet de rencontrer et de toucher une foule de personnes que l'on ne verrait peut-être pas sinon, et avec lesquelles on n'entrerait peut-être jamais en contact. S'il ne faut pas s'illusionner sur le procédé, ni lui prêter une importance excessive, il fait néammoins partie de ces moyens d'action nouveaux que l'on peut, et que l'on doit, utiliser, pour faire entendre sa voix.
Non seulement le Prince ne s'y est pas dérobé, mais encore il a accepté avec plaisir cette opportunité qui s'offrait à lui. Reçu par le directeur de La Provence, et après s'être entretenu avec plusieurs des journalistes du quotidien, il a donc passé plus d'une heure à dialoguer avec son public. Il l'a fait, comme toujours, avec sérieux, faisant preuve d'une aisance qui s'affirme de plus en plus, au fur et à mesure que se déroulent les soirées.
On pourra lire un extrait du tchat ici: tchat.pdf
Ensuite ce fut la présentation proprement dite dans la salle historique des Arcenaulx (bâtiments de l'Arsenal des Galères, époque Louis XIV), suivi d'un dialogue avec le public, puis d'un repas de cent couverts, pendant lequel, une fois de plus et comme à l'accoutumée, le Prince a tenu à se rendre présent et disponible à chacun. Après une longue séance de signatures (tous les livres apportés ont été vendus, et on en a manqué...), chacun a pu s'entretenir quelques instants avec lui, et apprécier tout à la fois sa disponibilité et sa simplicité.
Un seul regret, à Marseille (comme à Paris): on n'a pas vu assez grand (salle, nombre de livres à la vente...). Mais ce n'est que partie remise: le Prince sera de nouveau dans la cité phocéenne pour les cérémonies du 21 Janvier. Il présidera la messe pour Louis XVI et pour toutes les victimes de la Révolution, qui sera célébrée en l'église Saint Vincent de Paul (les Réformés) par le Père Zanotti-Sorkyne.
Du coup, les leçons de l'expérience d'hier étant vite tirées, les projets fusent du côté de la Canebière...
C'est ce que pense Charles-Henri d'Andigné, présentant Un Prince français dans Valeurs Actuelles (octobre 2009, sous le titre Jean de France, un Prince se révèle):
Ce sont 300 personnes qui ont répondu à l'invitation du Maire de Villefranche, Gérard Grosgojeat, et de son Conseil municipal. 300 personnes qui sont venues écouter, soutenir, découvrir... ce Prince français qui déclare: "La monarchie est une idée neuve en Europe" (1).
Et qui ont ensuite été reçues pour un rafraîchissement, comme on sait les organiser là-bas, la Mairie ayant fait les choses en grand et, en l'occurrence- ayant fait une grande chose qui, de toute évidence, restera dans les mémoires.
(1): Un Prince français, Pygmalion, page 214;